Réforme du réseau diplomatique.
- une trentaine
d’ambassades polyvalentes et assurant un soutien aux autres ambassades ;
- une centaine
d’ambassades à missions prioritaires, qui concentreront leurs activités sur un
certain nombre d’objectifs définis ;
- une trentaine de
postes de présence diplomatique aux effectifs réduits (dizaine d’agents), pour
assurer une fonction polyvalente de présence et de veille, orientées vers la
diplomatie d’influence.
- caractère évolutif de
la carte de nos représentations et de la répartition des postes dans les 3
catégories en fonction de nos intérêts et des relations bilatérales.
- mise en place, entre
l’administration centrale et chaque poste, d’un contrat d’objectifs et de
moyens.
Par ailleurs, au sein de
l’UE, on doit passer d’une logique de protection à une logique de veille contre
les discriminations.
- Parachèvement de la
réforme du réseau consulaire en Europe (création de pôles régionaux) ;
- Extension des pôles
régionaux à quelques grands pays ou sous-continents hors d’Europe ;
- Poursuite du
déploiement dans les pays émergents ;
- Généralisation des
télé-procédures.
- Création d’une « préfecture des Français de l’étranger »
à Nantes.
- Création d’un label
unique pour tous les pays pour une meilleure visibilité ;
- Développement de
l’autofinancement.
Les services parisiens
sont disséminés sur plus d’une dizaine de sites, et n’ont pas été rénovés
depuis 1936.
- regroupement de l’ensemble
des services situés hors du Quai sur un seul site, rue de la Convention
- rénovation de
l’ensemble des immeubles du Quai
- poursuite de
l’implantation de services à Nantes.
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