Français d'Asie Océanie.

Rencontre avec Eric WOERTH, ministre du budget, des comptes publics, de la fonction publique et de la réforme de l’Etat, et trésorier national et conseiller politique de l’UMP

Eric Woerth, ministre du budget, des comptes publics, de la fonction publique et de la réforme de l’Etat se rendait en Chine, dans le cadre d’un déplacement ministériel, du 7 au 9 juillet 2009. Il passait deux jours à Pékin (7 et 8) et une journée à Shanghai avant de se rendre à Singapour le jeudi soir.

Il rencontrait les militants de l'UMP Pékin pour un cocktail amical. C'est donc une quarantaine de personnes qui l'attendaient à la sortie d'un dîner officiel. Occasion d'évoquer l'actualité du mouvement, la crise financière et bien d'autres points. Un excellent moment passé avant avec un membre du gouvernement ouvert et compétent.

Audition de Bernard Kouchner au sujet de la mesure de gratuité scolaire à l'étranger.

Scolarité française à l’étranger. Auditionné à l’Assemblée nationale, le Ministre des Affaires étrangères et européennes, Bernard KOUCHNER, a fait savoir que la mesure de prise en charge des frais de scolarité ne sera pas - pour l’instant, crise oblige - étendue au delà des classes de Lycée. Pour le Sénateur Robert del PICCHIA, il n’y a pas abandon de la promesse électorale du Président de la République. Dans sa lettre de candidature, Nicolas SARKOZY avait en effet annoncé la prise en charge par l’Etat pour les seules classes de Lycée. Lors de la discussion budgétaire, Robert del PICCHIA a proposé de faire à la fin de l’année 2009 un bilan des trois classes - Terminales, Premières et secondes.

D'après la lettre du Sénateur Del Picchia

Le site internet du Sénat fait peau neuve.

Une nouvelle page d'accueil est mise en ligne, le 27 mai 2009, sur le site du sénat

Qu'est-ce qui change ? Les couleurs sont allégées, le graphisme est épuré, l'organisation est simplifiée.

Le site est recentré sur le cœur de métier du Sénat, rendu plus accessible : travaux parlementaires (rapports, textes de loi...) remontés au centre de la page, "dérouleurs" de séance mieux visibles dans le bloc "Accès rapide". La chaîne parlementaire "Public Sénat" est mieux intégrée, les vidéos sont plus présentes. Une nouvelle rubrique apparaît, pour répondre en termes simples à la question : "A quoi sert le Sénat ?".

Ces évolutions s'appuient sur les 3.000 réponses d'internautes à l'enquête en ligne menée sur le site du Sénat en janvier et février 2009 : qu'ils soient ici chaleureusement remerciés pour leur contribution.

Conformément à la volonté du Bureau du Sénat, cette modernisation sera poursuivie : une deuxième étape, prévue fin 2009, permettra d'intégrer de nouvelles fonctionnalités et de déployer la nouvelle charte graphique dans l'ensemble des pages du site.

Créé en décembre 1995, le site Internet du Sénat a reçu en 2008 plus de 12 millions de visiteurs uniques. Sa richesse documentaire en fait un site public de référence : 500 000 pages, 6 400 dossiers législatifs, 184 000 questions parlementaires, 13 années de compte-rendu intégral des débats, 52 300 amendements en ligne... Grâce à la séance en direct, aux flux rss, aux alertes et outils de veille législative, les citoyens peuvent suivre sur ce site "la loi en train de se faire".

Les Français de l'Etranger non invités au scrutin européen : des articles de presse du Sénateur Garriaud-Maylam.

Le Sénateur Joêlle Garriaud-Maylam analyse dans plusieurs articles de presse la place des Français de l'Etranger aux élections européennes. Des initiatives parlementaires menées par plusieurs Sénateurs comme les Sénateurs Del Picchia et Cointat appellent à réintroduire la possibilité pour les Français de l'Etranger d'exprimer leur voix lors de ce scrutin. Ils éliront par contre le même jour la moitié de leurs représentants à l'Assemblée des Français de l'Etranger.

Lire les articles de presse

Avantage familial pour les fonctionnaires expatriés et frais de scolarité : une question écrite du Sénateur del Picchia et la réponse du MAEE.

M. Robert del Picchia attire l'attention de M. le ministre des affaires étrangères et européennes sur la nature et la destination des majorations familiales et des avantages familiaux dont bénéficient les différents personnels français de l'État en poste à l'étranger. La question est posée depuis la mise en œuvre de la prise en charge des frais de scolarité des élèves français de terminale l'année passée, étendue à la première cette année, dans les établissements français à l'étranger. En effet, selon l'instruction spécifique sur l'aide à la scolarité, les majorations familiales ou avantages familiaux des personnels de l'État sont pris en compte dans le calcul de la prise en charge des écolages. Cela tend à signifier que ces éléments de rémunération liés à la charge d'enfants sont destinés à couvrir les frais de scolarité, que les enfants soient scolarisés ou non dans un établissement français - la scolarisation dans un établissement français à l'étranger n'étant pas une obligation légale mais un choix des familles. Si donc ces personnels perçoivent des majorations ou des avantages familiaux, ils ne peuvent pas prétendre à la prise en charge des frais de scolarité. Puisque les statuts des personnels de l'État, qu'ils soient fonctionnaires ou contractuels, ne sont pas régis par les mêmes textes, il lui demande si les avantages familiaux et les majorations familiales peuvent être assimilés. Dans l'hypothèse où ces personnels choisissent de mettre leurs enfants dans une école française à l'étranger, il lui demande si les majorations et les avantages familiaux sont destinés à couvrir uniquement les écolages ou s'ils peuvent couvrir d'autres frais relatifs aux enfants. En d'autres termes, il souhaiterait savoir si les majorations et les avantages familiaux doivent être supérieurs aux frais de scolarité des écoles françaises du pays de résidence. Il ne faudrait pas en effet que les parents, personnels de l'État, fonctionnaires ou contractuels, soient pénalisés pour avoir fait le choix de l'école française

Visite du Président de l'Assemblée Nationale en Chine.

Réception à la résidence de France en l'honneur de Bernard Accoyer, Président de l'Assemblée Nationale, accompagné de Anne-Marie Idrac, Secrétaire d'Etat au Commerce Extérieur.
D'après le site de l'Ambassade de France en Chine :

"La visite de M. Bernard Accoyer est la première visite officielle en Chine d’un Président d’Assemblée nationale depuis 1982. Elle a pour objectif essentiel de faire franchir une nouvelle étape à l’amitié profonde et ancienne qui unit la France et la Chine dans de nombreux domaines, en particulier dans le domaine parlementaire. Un accord visant à approfondir la coopération entre les deux assemblées sera signé à cette occasion entre l’Assemblée nationale et l’Assemblée nationale populaire.

Au cours de son déplacement, le Président de l’Assemblée nationale aura des entretiens bilatéraux avec les plus hautes autorités politiques, nationales et provinciales.

La visite du Président de l’Assemblée nationale est également destinée à mettre en valeur l’importance de la coopération franco-chinoise dans divers domaines. Il se rendra ainsi en particulier à Tianjin, sur une ligne d’assemblage d’Airbus, il visitera la filière médicale francophone de l’hôpital Ruijin à Shanghaï et se rendra à Shenzhen, haut lieu de la coopération entre les deux pays dans le domaine de l’énergie nucléaire."

Réchauffement des relations franco-chinoises : interview de Jean-Pierre Raffarin sur France-Info

"Je crois que la page est tournée. Un texte commun a rendu possible la rencontre londonienne entre le président chinois Hu Jintao et Nicolas Sarkozy, qui s’est bien passée. (...) Le président chinois a parlé d’une nouvelle phase. C’est ce à quoi nous travaillons", affirme t-il, enthousiaste.

En décembre dernier, la rencontre entre Nicolas Sarkozy et dalaï-lama en Pologne avait provoqué la fureur de Pékin, qui avait annulé un sommet sino-européen.

"Le réchauffement se sent à tous les niveaux. Les autorités chinoises nous ont affirmé leur souci d’une nouvelle coopération. Des contrats sont en perspective et le ministre du commerce nous a annoncé la venue d’une mission commerciale en France ", se réjouit l’ancien Premier ministre.

"En février, une telle mission s’était rendue en Allemagne, en Espagne, au Royaume-Uni pour passer plus de 13 milliards de dollars de commandes mais elle avait évité la France", se souvient t-il.

"Des accords opérationnels, il y en a tous les jours. Mais nous avons en développement des projets dans l’industrie nucléaire ", se félicite Jean-Pierre Raffarin.

"Symbole très fort" de ce réchauffement diplomatique, le vol inaugural du premier Airbus euro-chinois aura lieu le 23 juin prochain.

Ecouter l'interview

L'édition 2009 de la "Journée des français de l'Etranger" se tiendra au Palais du Luxembourg le 5 septembre 2009

Actuellement représentés par 12 sénateurs, les quelque 2,2 millions de Français de l’étranger apportent une contribution significative au rayonnement international de notre économie, de notre culture et des valeurs de la Francophonie.Les 12 sénateurs et les membres de l’Assemblée des Français de l’étranger vous attendent au Sénat pour cette journée « Portes ouvertes » qui, comme en 2006 et en 2008, permettra à un large public (plus de 3000 personnes l’an dernier) de s’informer sur l’expatriation et toutes les facettes de la présence française à l’étranger.La journée s’articulera autour :

·    de trois tables rondes animées par des journalistes sur les grands thèmes de l’expatriation et du retour en France ;

·    de stands où les représentants des principales institutions concernées (Affaires étrangères, Éducation nationale, Ubifrance…) pourront répondre à toutes vos questions ;

·    d’une émission de télévision dans l’hémicycle avec la participation de M. Gérard Larcher, Président du Sénat, des élus des Français de l’étranger et d’un membre du Gouvernement.

Réforme de l'adoption en France : les commentaires du Sénateur Garriaud-Maylam.

Le Conseil des ministres d'hier matin, le ministre du travail, des relations sociales, de la famille, de la solidarité et de la ville et la secrétaire d’Etat chargée de la famille ont présenté un projet de loi relatif à l’adoption.
Ce projet de loi a en premier lieu pour objet d’améliorer la résolution des situations de délaissement parental. Le tribunal de grande instance pourra être invité à constater l’abandon de l’enfant, non seulement par la famille d’accueil ou les services de l’aide sociale, comme c’était le cas jusqu’ici, mais aussi par le ministère public. Par ailleurs, le service de l’aide sociale à l’enfance devra chaque année, dans le rapport qu’il fait sur la situation de l’enfant placé en dehors de son domicile familial, se prononcer sur l'existence d’un désintérêt manifeste des parents.
Le projet de loi prévoit ensuite que les personnes titulaires d’un agrément pour adopter un enfant devront confirmer chaque année leur projet d’adoption, conformément aux conclusions du rapport sur l’adoption remis par Monsieur Jean-Marie Colombani le 19 mars 2008 au Président de la République.
Enfin, il conforte l’Agence française de l’adoption (AFA) dans son rôle d’opérateur public pour l’adoption internationale. Elle pourra intervenir dans tous les pays, y compris ceux qui ne sont pas parties à la Convention de La Haye du 29 mai 1993 sur la protection des enfants et la coopération en matière d’adoption internationale. Ses priorités d’implantation seront inscrites dans la stratégie française pour l’adoption internationale définie par le ministère des affaires étrangères et européennes. Elle disposera de la capacité de financer des microprojets de coopération sur son budget propre, afin de contribuer à la protection de l’enfance dans les pays où elle intervient. Son obligation de conseil à l’égard des candidats à l’adoption sera renforcée.
Après le conseil des ministres du 27 août 2008 au cours duquel la secrétaire d’Etat chargée de la famille et la secrétaire d’Etat chargée des affaires étrangères et des droits de l’Homme ont présenté un plan d’action et le comité interministériel pour l’adoption qui s’est tenu le 6 février 2009, ce projet de loi traduit la volonté du Gouvernement de poursuivre efficacement la réforme de l’adoption.
Ouvrir le site de l'adoption en France

Réforme de l'adoption en France.

Le ministre Brice Hortefeux et la secrétaire d’Etat chargée de la Famille Nadine Morano annoncent une réforme de l’adoption en France avec un objectif précis : augmenter le nombre d’enfants adoptables.La réforme présentée mercredi 1er avril a pour objectif de faciliter l’adoption d’enfants placés et donc d’écourter au maximum le séjour de ces enfants en familles d’accueil ou en foyer. La durée des procédures peut en effet s’étendre sur plus de 6 ans. « Le temps administratif n’est pas le temps de l’enfant. Un enfant grandi vite. Or, il a le droit à un avenir », a plaidé Nadine Morano dans un entretien au journal Libération.

(D'après la newsletter de l'UMP)