Français d'Asie Océanie.

La responsable de l'Orientation et de l'Enseignement Supérieur à l'AEFE de passage à Pékin.

Madame Boudre-Millot, Chef du Service de l’Orientation et de l’Enseignement Supérieur à l’AEFE, ici à droite à côté de Mme Scharfhauser proviseur adjoint, effectuait une visite au Lycée Français de Pékin et présentait aux enseignants la politique d’orientation de l’AEFE. Orientation en classe de troisième, notation et appréciations sur les bulletins de première, dossiers bleus etc… de nombreux questions furent abordées sur ce sujet qui intéresse à juste titre les parents d’élèves en établissement français à l’étranger. La réforme « Pécresse » ne devrait pas être sans incidence sur l’orientation post bac puisque la priorité sur l’académie de rattachement devrait être supprimée compliquant l’affaire des élèves de l’étranger.

Un sujet que ne manquera certainement pas d’aborder la commission de l’Enseignement à l’Assemblée des Français de l'Etranger.

Bourses scolaires au Lycée Français de Séoul : déposez vos dossiers.

Les formulaires peuvent être retirés au Lycée Français de Séoul, à la section consulaire de l’Ambassade ou téléchargés sur le site :  www.ambafrance-kr.org.

Les dossiers dûment complétés, signés, visés par le Lycée français de Séoul et accompagnés de toutes les pièces justificatives requises devront être déposés avant la date limite fixée cette année au 10 mars 2008. Les dossiers seront reçus à l’Ambassade lors d’un entretien individuel avec les demandeurs. A cet effet, les familles voudront bien prendre rendez-vous avec Mme Cécile BRUN (tél 3149 4412, email : [email protected]). 

L’attention des familles est appelée sur la nécessité de respecter le délai de dépôt des dossiers, et de fournir toutes les pièces justificatives demandées. Aucun dossier ne sera reçu après l’expiration du délai. Les dossiers déposés incomplets sans justification valable ne seront pas acceptés et ne pourront donc être soumis à la commission locale des bourses.

PRINCIPES GENERAUX

Des bourses scolaires peuvent être accordées aux enfants des familles ne disposant pas de ressources suffisantes pour assurer la prise en charge totale ou partielle des frais de scolarité perçus par les établissements d’enseignement français à l’étranger, conventionnés et/ou reconnus par le Ministère de l’Education Nationale.

Cette aide à la scolarisation concerne les enseignements préscolaires (maternelle, grande et moyenne section), élémentaires et secondaires ; en sont de ce fait exclus les enseignements post-secondaires de toute nature : professionnels, techniques, supérieurs, universitaires, ainsi que la maternelle, petite section du préélémentaire.

De nationalité française, les candidats boursiers doivent résider légalement avec leur famille dans la circonscription de ce Consulat Général, et avoir trois ans révolus avant le 31 décembre de l’année scolaire pour laquelle la bourse est demandée. L’inscription consulaire du candidat et de sa famille est obligatoire.

L’attribution des bourses dépendant des revenus des familles, il est indispensable que la Commission Locale des Bourses puisse disposer de l’ensemble des informations nécessaires. Les revenus pris en considération comprennent la totalité des revenus perçus en France et/ou à l’étranger, y compris les primes, indemnités, pensions, revenus du patrimoine (immobilier et mobilier), avantages financiers ou en nature, etc...

Des informations générales sur les bourses peuvent être consultées sur le site de l’AEFE (Agence pour l’Enseignement Français à l’Etranger) : http://www.aefe.diplomatie.fr/

Le Sénateur del Picchia demande un véritable statut d'élu local pour les Conseillers à l'AFE.

Madame la ministre, je sais que vous connaissez bien les Français de l'étranger et que vous leur accordez beaucoup d'attention. Vous avez d'ailleurs toute leur sympathie.

Permettez-moi de profiter de ce débat pour attirer votre attention sur une catégorie d'élus autre que celle dont a parlé avec talent mon collègue et ami Jean Puech, mais qui s'en approche beaucoup.

Pourquoi un sénateur des Français de l'étranger intervient-il ce soir à cette tribune ? Mon intervention a pour objet de faire en sorte que les conseillers élus à l'Assemblée des Français de l'étranger, AFE, ne soient pas oubliés dans ce débat.

Certains objecteront que mon intervention est hors sujet...et prétendront que les conseillers à l'Assemblée des Français de l'étranger ne peuvent pas être assimilés à des élus locaux. Pourtant, il me faut souligner qu'ils sont très proches de leurs collègues élus sur le territoire national, qu'il s'agisse de la nécessité de reconnaître leur statut, lequel n'existe encore ni pour les uns ni pour les autres, ou de l'organiser.

Au nombre de 155, ces élus forment l'Assemblée des Français de l'étranger. Ils sont élus localement, au sein de circonscriptions électorales, au suffrage universel direct pour un mandat de six ans. Il existe, vous le constatez, de nombreuses similitudes !

J'ai été élu pendant plus de dix ans par les Français d'Autriche et des pays de l'Europe de l'Est, et je sais que les responsabilités qui découlent d'un tel mandat sont bien réelles.

À l'instar des élus locaux, les élus de l'Assemblée des Français de l'étranger ont des responsabilités envers leurs administrés. Ils les remplissent notamment en participant aux réunions des diverses commissions dans les ambassades, dans les consulats, pour l'attribution de bourses scolaires, l'aide sociale, les comités pour l'emploi ou les comités de sécurité - qui sont de plus en plus importants à notre époque pour nos communautés expatriées - ou encore aux réunions avec les consuls, les consuls honoraires de la circonscription, etc. Madame le ministre, ayant été ministre de la défense, vous connaissez bien les difficultés liées à la sécurité des Français à l'étranger et le rôle des chefs d'îlot.

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Chômage et indemnisation des français de l'étranger (suite) : la discussion au Sénat.

M. Jean-Pierre Cantegrit :

Cet amendement porte sur la couverture chômage de nos compatriotes expatriés.puis les années soixante-dix, à titre facultatif, et depuis la fin de 1979, à titre obligatoire pour les sociétés de droit français, les salariés français expatriés peuvent s'assurer contre le risque chômage.
Cette disposition résulte de l'adoption, à la fin de 1979, d'un amendement dont j'étais l'auteur. Le Parlement était alors réuni en session extraordinaire. Monsieur le président, nous sommes sans doute peu à nous souvenir que Robert Boulin, siégeant alors au banc du Gouvernement, s'en était alors remis à la sagesse dela Haute Assemblée, laquelle avait soutenu ma proposition malgré les réticences du CNPF. Nous fûmes tous consternés en apprenant, quelques jours plus tard, la mort de Robert Boulin, dans des conditions affreuses.

Les salariés français expatriés peuvent donc s'assurer contre le risque chômage, soit individuellement, soit par l'intermédiaire de leur employeur. L'adhésion à l'assurance chômage doit avoir lieu dans les douze mois suivant leur date d'embauche à l'étranger. Le taux de leur contribution est identique à celui des salariés travaillant sur le territoire français.

Chômage et indemnisation des français de l'étranger.

Lors de la discussion au Sénat du Projet de Loi "Service Public de l'Emploi", le Sénateur des Français établis hors de France a déposé un amendement en vue de permettre aux salariés français expatriés privés d'emploi de s'inscrire en tant que "chômeurs" auprès des Comités Consulaires pour l'Emploi et la Formation Professionnelle pour une durée limitée. Depuis 1970, à titre facultatif, et 1979 à titre obligatoire pour les Sociétés de droit français, les salariés français expatriés peuvent s'assurer contre le risque chômage soit individuellement soit par l'intermédiaire de leur employeur ; cette adhésion à l'assurance chômage devant avoir lieu dans les douze mois suivant leur date d'embauche à l'étranger. Le taux de leur contribution est identique à celui des salariés travaillant sur le territoire français.

Par contre lorsqu'ils se trouvent privés d'emploi, pour pouvoir bénéficier des prestations et des indemnisations liées à leur situation, ils sont dans l'obligation de rentrer en France et de s'inscrire comme demandeur d'emploi auprès de l'ANPE et des Assedic, le code du travail le prévoyant expressément dans ses articles L. 311-2 et L. 311-6. Or le retour en France n'est pas la solution la plus opportune, car outre les frais et les problèmes qu'il induit, il ne permet pas au demandeur d'emploi de mettre à profit son expérience spécifique qui le plus souvent lui permettrait de retrouver plus rapidement et plus facilement un travail en demeurant sur place.

C'est pourquoi il est proposé que, pour un temps limité, et sous certaines conditions, les salariés expatriés privés d'emploi puissent s'inscrire auprès des comités consulaires pour l'Emploi et

la Formation Professionnelle

lesquels vérifieront qu'ils répondent bien aux conditions d'inscription et suivront les démarches entreprises en vue de trouver un nouvel emploi en liaison avec la nouvelle institution.

 

Réunion du comité consulaire emploi-formation pour la Chine.

Le Comité Consulaire Pour l’Emploi et la Formation Permanente (CCFEFP) pour la Chine tenait sa réunion annuelle ce lundi 21 janvier au Consulat. Ce comité décide en effet de la politique de favorisation de l’emploi, des stages et de la formation au bénéfice des français résidant en Chine. Y siègent les élus à l’Assemblée des Français de l’Etranger, les associations et la mission économique ainsi que le Consul et le Chef de Chancellerie. Un même comité se réunit de la même façon à Hong Kong, au Japon et en Corée. Comme l’an passé, le comité à recommandé de passer par la CCIFC comme prestataire de services. Celle-ci en plus de son service stage et son service emploi organise des speed dating, des forums pour l’emploi, des journées d’immersion pour les français nouvellement arrivés en Chine et ce avec des antennes à Canton, Shanghai et Pékin.

Le comité a aussi recommandé de faire appel aux services de Yvon Vélot qui de par ses relations et ces activités est plus à même de répondre à des demandes très pointues en terme de stages ou d’emploi. La Commission Nationale pour l’Emploi sera amenée à valider ou non la recommandation du comité local.

Dîner de travail avec François Jenny, notre représentant à Xian.

François Jenny est ingénieur chez Veolia et réside à Xian après avoir habité à Hohot en Mongolie Intérieure. Papa d’un petit enfant en bas âge, il est désireux de s’investir pour la petite communauté française (une cinquantaine d’âmes) qui vit dans cette bourgade récemment visitée par le Président de la République. Plan de sécurité, veille grippe aviaire, scolarisation des enfants tant de dossiers qui préoccupent toutes ses petites communautés éparpillées sur ce pays continent. Xian dépend du ressort consulaire de Pékin.

Alain Catta inaugure le centre de traitement externalisé des visas à Pékin.

Alain Catta, Directeur des Français de l'Etranger au Quai d'Orsay inaugurait le centre de traitement externalisé des visas "VISASFRANCE" ouvert le 26 octobre 2007 et permettant de faire face au nombre toujours croissant de demandes de visas pour la France. Le Centre traîte également les demandes de visas provenant des entreprises françaises au profit de leurs employés ou clients chinois.

Le site internet de VisasFrance

L'enseignement du Français Langue Etrangère en Chine.

Le FLE est enseigné par plus de 700 professeurs chinois et environ 200 lecteurs financés par les établissements chinois et compte, selon les estimations des services diplomatiques français, plus de 55 000 apprenants. A titre de comparaison, l’allemand est enseigné dans 80 à 90 universités, dont une cinquantaine compte une section d’allemand, par 800 professeurs chinois et une cinquantaine de natifs dont 27 lecteurs pris en charge par l’Ambassade d’Allemagne. Si les enseignants allemands ne sont pas forcément des professionnels, du fait du manque de candidats résultant tant du déficit d’information en Allemagne que de l’augmentation des exigences des universités chinoises, leurs homologues chinois, à l’inverse, sont obligatoirement des professionnels diplômés soit d’une maîtrise ou d’un doctorat chinois d’allemand.

L’espagnol, quant à lui, est enseigné par 300 professeurs chinois diplômés d’une maîtrise ou d’un doctorat chinois d’espagnol et par une quinzaine de lecteurs. Les lecteurs sont des professionnels, engagés par l’université chinoise qui les paie et l’Ambassade qui leur offre un complément financier.

Clquer ici pour ouvrir le site des enseignants de FLE en Chine

Lettre de voeux et de doléances à S.E.M Hervé Ladsous.

J’ai l’honneur de vous présenter, au nom de la communauté française résidant en Chine, les meilleurs vœux pour l’année 2008. Je m’associe par ailleurs aux vôtres, présentés en vidéo sur le site de l’Ambassade, pour souhaiter que « l’équipe France » aille, en cette année jalonnée de rendez-vous importants, vers de nombreuses autres victoires comme celles qu’elle a pu connaître en 2007.
Revenant sur l’année qui vient de s’écouler, je profite de l’occasion pour vous remercier de l’écoute qu’inlassablement vous accordez aux élus de la Circonscription et, à travers eux, aux préoccupations des ressortissants français qui y résident.
Ceux-ci, de plus en plus nombreux à venir s’installer en Chine, sont en effet désireux d’être entendus mais aussi d’être tenus au courant. Les techniques modernes permettent une information instantanée et exhaustive. Les sites Internet de l’Ambassade de France et des différents postes consulaires ont en 2007 fait peau neuve et fournissent sous une forme agréable de nombreux renseignements et indications propres à accompagner utilement le séjour des français établis en Chine. Il n’est pourtant pas rare de constater que nos compatriotes sont, pour la plupart, loin de connaître leurs droits, les dispositifs et les institutions qui les accompagnent à l’étranger. L’existence et le fonctionnement des comités consulaires, pour ne citer qu’eux, restent très souvent mal connus. L’utilisation plus fréquente de la liste de diffusion, comportant la quasi-totalité des adresses email des français immatriculés, ne me semble pas suffisamment exploitée pour diffuser de façon régulière ou occasionnelle, en sus des newsletters, des informations concernant l’actualité de notre communauté. De la même façon, de nombreux français résidant en Chine déplorent l’arrêt soudain de la diffusion du mensuel « le Piaf » qui constituait un lien de qualité entre ceux-ci. Il est bien regrettable également que la chaîne TV5, à l’heure où on s’apprête à célébrer la francophonie lors des JO, soit d’un accès si « confidentiel et limité ». Dans le même ordre d’idées, la fête de la musique en tant que lien de convivialité devrait donner lieu, me semble-t-il, en plus de tout ce qui est fait d’admirable, à davantage d’évènements. Télécharger la lettre