En classe de terminale depuis septembre 2007 et première à partir de
septembre prochain. Le sénateur del PICCHIA a posé une question orale au
ministre des affaires étrangères, pour attirer l’attention sur les
dysfonctionnements actuels dans l’application de cette mesure, en particulier
la mauvaise communication aux parents d’élèves français dont certains ne
connaissent pas encore cette mesure, la référence aux revenus alors que
l’attribution n’en dépend pas etc… Il a demandé que l’AEFE donne de façon
urgente des directives claires et précises aux établissements du réseau. Des
directives qui tiennent compte particulièrement de la non prise en compte des
revenus et du seul avis administratif du Lycée et du consulat. Les Lycées et
les consulats n’ayant pas à juger le bien fondé de la mesure mais uniquement à
l’enregistrer. Le principe est que tout élève français y a droit pour autant
que la scolarité ne soit pas prise en charge par ailleurs. Le budget alloué par
le gouvernement et voté par les parlementaires (20 millions d’Euros) étant
suffisant pour ces prises en charge. Il a également demandé que les parents
d'élèves n'aient pas à faire l'avance des frais de scolarité. Ils n’ont pas à
faire crédit à l’Etat.
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